La vague Jaune a déferlé hier sur Dakar, sa banlieue et l’ensemble du Sénégal. Dans les rues animées, au cœur des quartiers populaires comme dans les artères les plus fréquentées, l’équipe de YAS Sénégal célébrait son premier anniversaire avec ses utilisateurs, renouant avec une idée simple mais puissante : aller à la rencontre des gens, écouter, dialoguer, partager. Une journée de convivialité sincère, fidèle à l’ADN d’un opérateur qui s’est donné pour mission de remettre l’expérience client au centre.
Mais pour moi, journaliste témoin privilégié des grandes étapes du secteur télécom au Sénégal, cette célébration a eu une résonance particulière. Car quelques secondes avant de me retrouver dans la foule jaune, je découvrais, un peu abasourdi, le nouveau nom de l’entreprise : YAS Sénégal. L’opérateur qui s’appelait encore Free Sénégal un instant plus tôt venait de tourner une page historique. Un changement d’identité qui n’était pas seulement visuel : il symbolisait une volonté renouvelée d’innovation, de proximité et d’engagement.

Cette surprise a immédiatement réveillé en moi un souvenir fort. J’ai eu l’honneur d’être présent lors du passage de Tigo à Free, à l’époque où les matinées lumineuses des Almadies rythmaient les annonces, les ambitions et l’énergie d’un écosystème télécom en pleine transformation. J’ai vu naître une marque, puis la voir évoluer, s’adapter, se réinventer. Et voilà qu’aujourd’hui, je suis encore là, aux premières loges, témoin du virage stratégique d’un opérateur qui choisit d’inscrire son histoire dans une nouvelle dynamique.
Un an après sa naissance, YAS Sénégal affiche une ligne claire : offrir une relation plus humaine, des services pensés pour les usages d’aujourd’hui, et une présence réelle sur le terrain. La célébration de ce premier anniversaire l’a montré avec force : YAS n’est pas seulement un nom, c’est une communauté. Une énergie. Un mouvement.

Et hier, ce mouvement s’est senti partout : dans les sourires échangés, dans la chaleur des discussions, dans cette fameuse « Vague Jaune » qui a envahi le pays. L’opérateur a voulu marquer le coup en sortant des bureaux, en traversant les quartiers, en allant vers celles et ceux qui le font vivre au quotidien.
Un an, ce n’est qu’un début. Mais YAS a déjà imprimé une marque reconnaissable : son audace, sa proximité, son ambition de dépoussiérer les codes du secteur. Si l’avenir reste à écrire, une chose est sûre : la Vague Jaune n’a pas fini de surprendre, d’innover et de fédérer.
Et moi, une fois encore, j’ai eu le privilège d’être témoin de cette nouvelle page qui s’ouvre.